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Demolition Man : et si Stallone avait prédit la castration des hommes modernes ?

Avec un duo comme ça, tu ne peux pas te tromper.

Dans Demolition Man, on se réveille en 2032.

Un monde sans guerre, sans crimes, sans cigarettes, sans sucre, sans insultes, sans sexe, sans contacts physiques, sans couilles.

Tout est “safe”, “inclusif” et “zen”.

Même les tacos sont vegans.

La violence verbale est sanctionnée par une machine qui t’imprime une amende quand tu dis « merde ».

On a construit une société parfaite… 

En sacrifiant l’homme.

Les hommes, les vrais, n’existent plus.

Ils ont été remplacés par des technocrates aseptisés, des pantins civilisés, des clones bien polis aux hormones neutralisées.

Bienvenue dans le cauchemar de la modernité poussée à l’extrême.

Le genre de mec que la modernité déteste.

John Spartan : le barbare nécessaire

Et là, dans ce monde sous anesthésie, on dégèle John Spartan.

Un homme du XXe siècle. 

Un vrai.

Flic old-school, viril jusqu’aux sourcils, programme testostérone activé en permanence.

Il parle fort, il cogne dur, il agit vite.

Tout ce que la société actuelle déteste.

Mais voilà : c’est le seul capable d’affronter le chaos incarné, Simon Phoenix.

Le punk déchaîné, le criminel pur, que personne ne peut arrêter.

Dans une société qui a éradiqué le mal, on ne sait plus le combattre.

Il faut réveiller le loup pour éliminer le monstre.

Et c’est là tout le génie du film :

Quand tu veux tellement la paix que tu effaces ceux capables de faire la guerre… tu perds les deux.

Même les flics sont des tapettes en 2032.

Dystopie ou réalité ? Le parallèle avec 2025

Tu crois que Demolition Man, c’est de la fiction ?

Regarde autour de toi.

  • La viande est diabolisée.

  • La masculinité sacrée est menacées par le soja et les discours de la bienpensance.

  • L’homme fort est vu comme un problème social.

  • Les bastons sont interdites, mais les TikToks débiles sont promus.

  • On ne t’apprend plus à être un homme, on t’apprend à ne surtout pas déranger.

On appelle ça le progrès. 

Mais en vrai, c’est une castration civilisationnelle.

Et comme dans le film, le vrai chaos guette au tournant.

Pas celui qui explose tout. 

Celui qui rend tout le monde trop faible pour se défendre.

« Merde, j’ai dis Merde. »

Spartan n’est pas un bourrin, c’est un homme complet

On pourrait croire que John Spartan, c’est juste un gorille avec des muscles.

Mais c’est faux.

Il a des principes. 

Il ne tue pas sans raison. 

Il protège les civils. 

Il encaisse les critiques. 

Il apprend.

Quand tout le monde se moque de lui parce qu’il ne sait pas utiliser les « trois coquillages », il ne pleurniche pas. 

Il avance.

Il a ce truc qu’on a oublié aujourd’hui : la dignité.

Et le sens du devoir.

Il n’est pas “toxique”. 

Il est brute. 

Direct. 

Authentique.

Et surtout : il n’a pas besoin de validation.

Il EST.

En plus il a des gros avant-bras.

Le mythe de l’homme post-moderne démoli en 1h45

Demolition Man, c’est un uppercut dans la mâchoire du “nouvel homme” :

  • Celui qui n’a plus de biceps, mais connaît toutes les astuces pour perdre du poids.

  • Celui qui ne se bat plus, mais débat en ligne pendant trois heures.

  • Celui qui attend qu’on l’autorise à exister, au lieu de prendre sa place.

Spartan ne demande pas l’autorisation. 

Il agit. 

Il protège. 

Il détruit ce qui menace.

Et il le fait avec classe.

Parce qu’au fond, ce que ce film nous dit, c’est ça :

« Un homme, ça sert à quelque chose. 

Un homme, c’est un rempart. 

Et un rempart, c’est pas en mousse. »

Même Jackie Chan n’avait pas le niveau de testo requis pour jouer Spartan.

Simon Phoenix : le chaos, fils du progressisme

Simon Phoenix, c’est ce que tu obtiens quand tu crois pouvoir contrôler le mal avec des lois molles et de la bienveillance bureaucratique.

Il explose les cadres. 

Il se moque des règles. 

Il écrase la civilisation avec un grand sourire.

Et qui l’affronte ?

Personne.

Il faut un Spartan. 

Un mec sorti du congélo, un dinosaure viril, pour remettre un peu d’ordre.

Un homme qu’on a mis au placard parce qu’il ne cadrait plus avec la société.

Comme beaucoup d’hommes aujourd’hui. 

Trop directs. 

Trop forts. 

Trop bruyants.

Et pourtant… indispensables.

Sacré dégaine de taré.

Qui sommes-nous devenus, et qui devons-nous redevenir ?

Demolition Man pose une question simple mais brutale :

À force de vouloir tout aseptiser, as-tu encore ce qu’il faut pour être un homme ?

Parce que le message est clair :

Sans Spartan, il n’y a plus de résistance.

Sans testostérone, il n’y a plus de cadre.

Sans violence maîtrisée, il n’y a plus de justice.

Ce film, c’est une alarme.

Et elle ne sonne pas dans le futur.

Elle retentit maintenant.

Les problèmes.

Conclusion

Tu veux un monde sûr, propre, doux, gentil ?

Cool. 

Mais prépare-toi à être faible, mou, et inutile.

Ou alors, tu fais le choix Spartan :

  • Tu t’entraînes.

  • Tu apprends à encaisser.

  • Tu parles avec tes actes et pas avec ton compte X.

  • Tu deviens l’homme dont les autres auront besoin quand tout s’effondrera.

Demolition Man n’est pas un film. 

C’est une boussole.

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Antonin
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2 mois il y a

Après Copland, et Never Back Down, Mike, t’as le don de donner envie de se retaper ces films testostéronés! Ahah !

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2 mois il y a

Après Copland, et Never Back Down, Mike, t’as le don de donner envie de se retaper ces films testostéronés! Ahah !